AccueilLiens UtilesPublicationsPlan du site
Rechercher :
Présentation générale Dougga à travers l'histoire Circuits Dougga et sa région Investir à Dougga Informations pratiques Evènements Galerie photos Contact
Dougga à travers l'histoire
Présentation historique
L'écriture à Dougga
Carte de Dougga
La Période Préromaine
La Présence Humaine
Les Structures Préromaines
La Muraille
Le Mausolée d'Atban
Le Monument dit temple de Massinissa
L'épigraphie libyque
La Généalogie
La Période Romaine
L'Originalité de Dougga
Le Territoire de Dougga
L'Urbanisme à Dougga
Le Forum
La Place de la Rose des Vents
Le Marché et l'Abside De Mercure
Les Monuments de Spectacle
Les Monuments Hydrauliques
Les Édifices Religieux
L'Habitat
Les Entrés Monumentales
La Nécropole
La Période Byzantine
L'Hypogée chrétien
L’église de Victoria
La Forteresse Byzantine
La Période Médiévale
Les mosaïques de Dougga au musée du Bardo

La Période Byzantine

La crise générale que connut l’empire romain au IIIéme siècle après J.C. a été moins sensible en Afrique romaine que dans d’autres provinces directement menacées par les invasions des peuples germaniques.

Durant tout le Bas-Empire, les institutions municipales continuèrent à fonctionner impertubablement en Afrique.

A cette époque, la vie matérielle fut marquée par l’aménagement et l’ornementation de grandes demeures urbaines plus que par la construction de nouveaux monuments publics.

On a pratiqué surtout, particulièrement dans les années 375-380 après J.C., des restaurations de monuments antérieurs, notamment celle de l’aqueduc.

Qu’une agglomération de quelque importance ait été maintenue à l’époque vandale (439-533 après J.C.) est attesté par la décision que prit en 534, lors de la reconquête, l’empereur de Byzance Justinien, d’y construire une forteresse.

Cependant, bien qu’il soit probable qu’au temps de sa splendeur Thugga ait été un évêché, représenté dès 256 après J.C. au concile de Carthage, la discrétion de l’Église locale est aussi patente dans les textes que dans les monuments chrétiens qui ne sont représentés jusqu’ici que par la très modeste église de Victoria, basilique funéraire, que l’on a coutume de dater de la fin du IVéme ou du Véme siècle.

Les seuls autres vestiges pour la période du VIéme siècle au VIIIéme siècle sont le grand tombeau collectif connu sous le nom d’ « hypogée chrétien », des sarcophages épars et de rares inscriptions.

C’était pourtant alors une ville importante au moins par son étendue, à preuve la grande enceinte tardive qui enfermait 15 à 16 ha, soit les trois quarts de la surface antérieure agglomérée. On ignore tout de l’organisation, de la densité de l’habitat, de la durée de cette ville fortifiée.

   Plan schématique des vestiges de l'Antiquité Tardive

 

Accueil | Liens Utiles | Publications | Plan du site
© 2008 Dougga | Powered by www.medianet.com.tn