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Les mosaïques de Dougga au musée du Bardo

L'écriture à Dougga

Avec environ 2000 textes inscrits sur la pierre, Dougga rassemble avec Carthage la plus vaste collection épigraphique de la Tunisie.

Ce sont avant tout les inscriptions qui en font une cité de référence pour l’histoire de l’Afrique ancienne.

Elle offre un exemple remarquable de multilinguisme, car on y trouve des textes inscrits dans les diverses langues qui ont été en usage sur place.

Cependant, et bien que Rome ait respecté la diversité culturelle de ses sujets, l’attrait du latin a été irrésistible.

En effet, dans leur quasi totalité, les inscriptions du site sont en latin.

La langue berbère, le libyque, n’était qu’une langue orale, mais, dès le Vème siècle avant J.C., elle a fait l’objet d’une traduction écrite, peut-être à l’initiative des Carthaginois.

Dougga se distingue en Tunisie par plusieurs textes publics en libyque datables des le IVème au IIème siècle. avant J.C. Le phénicien ou punique y est attesté dans les grandes inscriptions bilingues (en libyque et en punique) du temple de Massinissa et du mausolée et, jusque vers la fin du Ier siècle après J.C., par quelques inscriptions votives.

Le grec, bien connu à l’époque numide (l’onomastique de Dougga en témoigne encore à l’époque romaine), n’apparaît, pour l’essentiel, que dans deux épitaphes datables du Haut-Empire romain.

On doit bien distinguer entre l’usage de la langue parlée et celui de l’écriture correspondante.

Il est probable que le libyque et le punique parlés ont subsisté en Tunisie, le dernier du moins, jusqu’à la fin de l’Antiquité dans la vie courante, alors que le grec a rapidement décliné pour n’être utilisé que dans un cercle d’érudits.

   L'écriture à Dougga

Inscription funéraire versifiée d'un défunt de 21 ans gravée sur une stèle élévé par " un père accablé de douleur
dans son coeur, après avoir répandu du vin et des huiles parfumées sur les osements de son fils

Bloc apparetenant à la grande dédicace du temple de Mercure offert par Quintus Pacvvius Stratus et son épouse
au nom de leur fils défunt Victorianus sous le règne de Commode 180 - 192 après J.C.

 

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